Punition BDSM : Comment punir son soumis

Les punitions BDSM peuvent se classer en deux catégories : non douloureuses et douloureuses. Les punitions non douloureuses sont souvent de nature moins ouvertement sexuelle. Les punitions douloureuses impliquent généralement les menottes, l’attache de la corde, les jeux d’impact, etc.

Comment fonctionnent les punitions BDSM ?

La punition est un outil qui peut s’utiliser pour la formation et la discipline d’un soumis. La discipline est le terme générique qui implique la formation d’un soumis pour qu’il accomplisse des tâches et se tienne exactement comme le Dominant l’attend en utilisant des outils tels que les punitions, les corrections et les récompenses. Les punitions possibles peuvent être décidées à l’avance par les deux partenaires ou sélectionnées par le dominant selon la gravité et de la nature du « méfait ». Par exemple, le fait de parler à tort et à travers peut être puni par l’insertion d’un bâillon pendant les activités sexuelles, rendant le soumis incapable de parler. Dans ce contexte, la punition a pour objet de contrôler les mauvais comportements et d’encourager le soumis à s’améliorer dans son rôle. Pour établir ce type de dynamique de façon sûre et consensuelle, il y a quelques lignes directrices à considérer.

Dans certaines relations, les punitions s’utilisent afin de renforcer une dynamique de pouvoir dominant/soumis. Le partenaire dominant fixe des règles pour son soumis, qui est par la suite récompensé ou puni selon son comportement. Avant de s’engager dans des punitions BDSM, il est important que chaque participant impliqué ait communiqué ses limites, ses besoins et ses désirs. Les partenaires se mettront d’accord sur quelle est la dynamique, quelles sont les limites de ce rôle et qui joue quel rôle. Aucune punition ne devrait jamais être administrée sans avoir été négociée au préalable. Il est préférable de préciser et de convenir en détail des punitions autorisées dès le début de la relation ou de la dynamique. Pour en savoir plus sur les punitions BDSM, cliquez ici.

Quelques punitions BDSM

Le type de punition utilisé peut être de nature négative (suppression de stimuli positifs tels que les privilèges et les jouets) ou positive (ajout de stimuli négatifs tels que l’application d’une douleur ou d’un coin). Le bondage peut aussi être une bonne forme de punition ou de discipline. Par exemple, le fait de garder les mains de son soumis attachées derrière le dos pendant qu’il est à genoux devant le dominant peut lui apprendre la retenue et l’obéissance. La rétention totale des orgasmes est une autre solution si votre vilain soumis n’a vraiment pas compris la leçon la première fois. S’il a enfreint la même règle deux fois en une semaine, le dominant devra augmenter la punition en la rendant un peu plus sévère.

L’une des meilleures punitions est l’orgasme différé. L’absence totale d’orgasme peut être intense et un peu exagérée pour moi, les orgasmes retardés sont donc parfaits pour donner une leçon au partenaire pour la première fois. La fessée est un classique. Si le soumis fait quelque chose de mal, il reçoit une fessée, c’est une question de bon sens. Les participants BDSM expérimentés et inexpérimentés peuvent intégrer l’idée de la fessée comme punition dans leur dynamique.